Le combat thaïlandais terminé, on s’attaque au dossier cambodgien. Début des hostilités à Siem Reap où je retrouve Mark, mon ami anglais (2 mots qui sonnent tellement mal ensemble). La ville est infestée de touristes, il y en a partout. L’ennemie ne se cache même plus. La mauvaise graine est planté et le décor avec.
L’objectif de la mission est simple, s’échapper, fuir le fantôme thaïlandais pour enfin retrouver nos frères d’armes, les locaux, les gens, les vrais. Après une nuit dans un bus, entourés de russes et d’américains, nous rejoignons enfin le camp de base de Sihanoukville. L’envahisseur n’y est pas plus discret. Il niak à regarder la plage.
« Bernardo, tu me rends ce clavier, et fissa ! » … et Bernardo s’exécuta, il fissa … enfin ce que je lui avais demandé.
Bref, merci Bernardo pour cette entrée en matière, je n’avais rien trouvé. La panne du poète n’est pas un mythe, … ça vous étonne ? Oui, je connais également le moment où la plume demande le divorce, où la page blanche se révèle être plus blanche et plus grande qu’à l’habitude, L’esprit s’embrouille, l’inspiration se fait la malle, bref je redeviens humain. A cet instant, le poète doit faire la différence. Je demande alors de l’aide au géni : « Géni, ohé, m’entends tu ? », puis le géni me souri (et mickey aussi, évidemment Bernardo).
Où en étais-je ?
Donc Sihanoukville, un désastre. Nous ne resterons que 2 nuits avant de s’échapper vers Kampot (évidemment Berni, nous placerons « de pomme » quelque part, ne t’inquiète pas). Ici, la location de moto s’impose. Petite virée dans les villages des bords du Mékong. On s’arrête souvent pour jouer avec les enfants et faire le plein (de la moto bande de vicieux). Le soir, petite récompense au restaurant local, une soupe de riz au poisson. Je crois avoir goûté beaucoup de trucs dégueulasses pendant ce voyage mais là, c’est le pompon. Arriver à faire si mauvais à base d’ingrédients si classique (à savoir juste du riz et du poisson), cela relève presque de la performance. Finalement notre récompense on l’aura dans la chambre d’hôtel, en rentrant le soir (Je te demande pardon Bernardo?, Non, toujours pas de pomme dans l’histoire). En effet, il passe Chelsea Arsenal, en direct à la télé, et ce n’est pas du tennis de table.
Bon, Kampot c’est beau mais on veut encore plus « pommé » (Je lui avais promis), du coup on se rend à Kep, happés par le désir d’aventure (là ça devient subtile, attention, relecture obligatoire). Petit truc sympa à Kep, on trouve sur toutes les cartes de la région un plan pour se rendre au lac secret. Il semble alors évident que nous n’avons pas la même notion du mot « secret ». Il ne vaut mieux pas que je me confie (Non Bernardo, pomme c'est fait, si je place cerise là, ça fera un peu mono idéique…). Et lorsque l’on apprend que l’on peut se rendre sur l’île aux serpents, proche de l’île aux lapins, où il n’y a ni lapins, ni serpent, ni sur l’une, ni sur l’autre, ça devient un peu confus pour nous. Du coup, pas d’île mais visite du lac, des grottes et des champs de sel, poivre, … aux environs. Puis le parc national, toujours à moto, nous donne des points de vus surprenants.
Finalement, la côte cambodgienne nous aura offert de beaux moments et de superbes paysages.
Puis direction la capitale, Phnom Pen, pour honorer notre rendez vous avec l’histoire. La visite des killing fields est un choc. Une claque en pleine gueule, une douche froide. Sur fond de témoignages poignants, l’audio guide vous emmène à travers l’histoire. Un voyage dans le temps et l’espace. Une seule solution pour s’en remettre, l’American Day. Concept développé au cours de se voyage avec Bernardo, l’American Day consiste à faire tous les gros achats en même temps en se faisant plaisir à côté parce que « On n’est pas à ça près ». Donc petit déjeuné complet, réparation de l’ordinateur, achat d’un nouvel appareil photo et on fini au restaurant. Un 10/10 à plus de 200 dollars. Merci oncle Sam !
Un petit retour aux sources s’impose, direction Kampong thom, 3 dollars la nuit, 1 dollars 50 le repas. La chute est vertigineuse mais nécessaire. Vous ne connaissez pas Kampong thom ?
Normal, il n’y a rien à faire à part visiter le « mini Angkor vat » comme ils l’appellent. Cette visite se fait comme toujours accompagné d’enfants qui, sous une chaleur de plomb agrémentée d’un 39 degré au compteur, vous proposent des écharpes (Bernardo attend toujours un tempête de neige pour changer son maillot de bain, il est encore plus troublé que moi).
Puis assez fait mumuse, on rejoint Siem Reap. Mark pour retourner en Birmanie et moi pour visiter le vrai Angkor vat. Vous ne connaissez pas Angkor vat ? (« Sortez de chez vous ! » me dit Bernardo)
Angkor vat, c’est un peu le Taj Mahal pour l’Inde, la tour Eiffel pour Paris, la KrutBier pour Strasbourg, on n’a pas le droit de passer à côté.
Alors, après des adieux difficiles, je me rends sur place, 5H du matin … à bicyclette. J’ai donc vérifié mais pas de Fernand, pas de Firmin, pas de Francis ni de Sébastien… Et après 11H de visite à pédaler sous 38 degré, je n’ai pas non plus trouvé Paulette. La déception est forte mais compensée par des temples tous aussi beaux les uns que les autres. Pour vous donner une idée, regardez le film Tomb Raider et vous enlevé Angélina Jolie (Non, Bernardo, pas pour la séquestrer … La Thaïlande lui a fait beaucoup de mal le garçon). Parfois les arbres gigantesques se mélangent aux ruines et on se demande lequel était là en premier.
Cette journée est éprouvante. Le physique en prend un coup. Je me prends donc 3 jours de repos bien mérités entre la terrasse et ma chambre. Pour la terrasse, pas de problème, mais lorsqu’il faut retrouver la Chambre 24 (située précisément entre la 116 et la 16, en face de la 103) à 3H du matin, juste imbibé (non, pas le chanteur Bernardo), ça se complique sérieusement. Je m’excuse encore auprès du locataire de la 16.
Puis, dernière destination, Strung Treng. 15H de bus pour « la plus belle vue du couché de soleil sur le Mékong et au Cambodge ». En gros, il ne faut pas se louper, l’indication est précise.
Avant de conclure cette interlude Cambodgienne, j’aimerai simplement décerner la palme d’or au peuple cambodgien pour la catégorie:
« J’entasse le plus de merde sur mon scooter et je m’arrache »
A 7 sur un scooter ou avec 6 matelas doubles, King size. Tu choisis ton camp gamin.
A bientôt pour de nouvelles aventures
Voici les photos !
L’objectif de la mission est simple, s’échapper, fuir le fantôme thaïlandais pour enfin retrouver nos frères d’armes, les locaux, les gens, les vrais. Après une nuit dans un bus, entourés de russes et d’américains, nous rejoignons enfin le camp de base de Sihanoukville. L’envahisseur n’y est pas plus discret. Il niak à regarder la plage.
« Bernardo, tu me rends ce clavier, et fissa ! » … et Bernardo s’exécuta, il fissa … enfin ce que je lui avais demandé.
Bref, merci Bernardo pour cette entrée en matière, je n’avais rien trouvé. La panne du poète n’est pas un mythe, … ça vous étonne ? Oui, je connais également le moment où la plume demande le divorce, où la page blanche se révèle être plus blanche et plus grande qu’à l’habitude, L’esprit s’embrouille, l’inspiration se fait la malle, bref je redeviens humain. A cet instant, le poète doit faire la différence. Je demande alors de l’aide au géni : « Géni, ohé, m’entends tu ? », puis le géni me souri (et mickey aussi, évidemment Bernardo).
Où en étais-je ?
Donc Sihanoukville, un désastre. Nous ne resterons que 2 nuits avant de s’échapper vers Kampot (évidemment Berni, nous placerons « de pomme » quelque part, ne t’inquiète pas). Ici, la location de moto s’impose. Petite virée dans les villages des bords du Mékong. On s’arrête souvent pour jouer avec les enfants et faire le plein (de la moto bande de vicieux). Le soir, petite récompense au restaurant local, une soupe de riz au poisson. Je crois avoir goûté beaucoup de trucs dégueulasses pendant ce voyage mais là, c’est le pompon. Arriver à faire si mauvais à base d’ingrédients si classique (à savoir juste du riz et du poisson), cela relève presque de la performance. Finalement notre récompense on l’aura dans la chambre d’hôtel, en rentrant le soir (Je te demande pardon Bernardo?, Non, toujours pas de pomme dans l’histoire). En effet, il passe Chelsea Arsenal, en direct à la télé, et ce n’est pas du tennis de table.
Bon, Kampot c’est beau mais on veut encore plus « pommé » (Je lui avais promis), du coup on se rend à Kep, happés par le désir d’aventure (là ça devient subtile, attention, relecture obligatoire). Petit truc sympa à Kep, on trouve sur toutes les cartes de la région un plan pour se rendre au lac secret. Il semble alors évident que nous n’avons pas la même notion du mot « secret ». Il ne vaut mieux pas que je me confie (Non Bernardo, pomme c'est fait, si je place cerise là, ça fera un peu mono idéique…). Et lorsque l’on apprend que l’on peut se rendre sur l’île aux serpents, proche de l’île aux lapins, où il n’y a ni lapins, ni serpent, ni sur l’une, ni sur l’autre, ça devient un peu confus pour nous. Du coup, pas d’île mais visite du lac, des grottes et des champs de sel, poivre, … aux environs. Puis le parc national, toujours à moto, nous donne des points de vus surprenants.
Finalement, la côte cambodgienne nous aura offert de beaux moments et de superbes paysages.
Puis direction la capitale, Phnom Pen, pour honorer notre rendez vous avec l’histoire. La visite des killing fields est un choc. Une claque en pleine gueule, une douche froide. Sur fond de témoignages poignants, l’audio guide vous emmène à travers l’histoire. Un voyage dans le temps et l’espace. Une seule solution pour s’en remettre, l’American Day. Concept développé au cours de se voyage avec Bernardo, l’American Day consiste à faire tous les gros achats en même temps en se faisant plaisir à côté parce que « On n’est pas à ça près ». Donc petit déjeuné complet, réparation de l’ordinateur, achat d’un nouvel appareil photo et on fini au restaurant. Un 10/10 à plus de 200 dollars. Merci oncle Sam !
Un petit retour aux sources s’impose, direction Kampong thom, 3 dollars la nuit, 1 dollars 50 le repas. La chute est vertigineuse mais nécessaire. Vous ne connaissez pas Kampong thom ?
Normal, il n’y a rien à faire à part visiter le « mini Angkor vat » comme ils l’appellent. Cette visite se fait comme toujours accompagné d’enfants qui, sous une chaleur de plomb agrémentée d’un 39 degré au compteur, vous proposent des écharpes (Bernardo attend toujours un tempête de neige pour changer son maillot de bain, il est encore plus troublé que moi).
Puis assez fait mumuse, on rejoint Siem Reap. Mark pour retourner en Birmanie et moi pour visiter le vrai Angkor vat. Vous ne connaissez pas Angkor vat ? (« Sortez de chez vous ! » me dit Bernardo)
Angkor vat, c’est un peu le Taj Mahal pour l’Inde, la tour Eiffel pour Paris, la KrutBier pour Strasbourg, on n’a pas le droit de passer à côté.
Alors, après des adieux difficiles, je me rends sur place, 5H du matin … à bicyclette. J’ai donc vérifié mais pas de Fernand, pas de Firmin, pas de Francis ni de Sébastien… Et après 11H de visite à pédaler sous 38 degré, je n’ai pas non plus trouvé Paulette. La déception est forte mais compensée par des temples tous aussi beaux les uns que les autres. Pour vous donner une idée, regardez le film Tomb Raider et vous enlevé Angélina Jolie (Non, Bernardo, pas pour la séquestrer … La Thaïlande lui a fait beaucoup de mal le garçon). Parfois les arbres gigantesques se mélangent aux ruines et on se demande lequel était là en premier.
Cette journée est éprouvante. Le physique en prend un coup. Je me prends donc 3 jours de repos bien mérités entre la terrasse et ma chambre. Pour la terrasse, pas de problème, mais lorsqu’il faut retrouver la Chambre 24 (située précisément entre la 116 et la 16, en face de la 103) à 3H du matin, juste imbibé (non, pas le chanteur Bernardo), ça se complique sérieusement. Je m’excuse encore auprès du locataire de la 16.
Puis, dernière destination, Strung Treng. 15H de bus pour « la plus belle vue du couché de soleil sur le Mékong et au Cambodge ». En gros, il ne faut pas se louper, l’indication est précise.
Avant de conclure cette interlude Cambodgienne, j’aimerai simplement décerner la palme d’or au peuple cambodgien pour la catégorie:
« J’entasse le plus de merde sur mon scooter et je m’arrache »
A 7 sur un scooter ou avec 6 matelas doubles, King size. Tu choisis ton camp gamin.
A bientôt pour de nouvelles aventures
Voici les photos !
Cambodian surprise
The combat against Thailand ending, let’s tackle the Cambodian problem. Outbreak of hostilities in Siem Reap where I join Mark, my English friend (2 words that sound so well together). The city is infested by tourists, everywhere. The enemy doesn’t even hide anymore. I’m set on fighting and the scene as well (she’s set !).
The objective of the mission is simple, escape, flee the Thai ghost to finally meet our brothers in arms, locals, true people. After a night in a bus, surrounded by Russian and American, we reach the base camp of Sihanoukville. The invader is not there more discreet. Let’s leave. Gookbye.
"Bernardo, give me back this keyboard ! " … “I’ve no pakience anymore !”
Well, thank you Bernardo for this introduction, I did not find anything. Failure of the poet is not a myth ... it surprise you? Yes, I also know when your pen request divorce, when the white page turns out to be larger and whiter than usual, confuses the mind, inspiration clears off, in short I become human again. At this point, the poet must make a difference. I ask for help to genius: "Geni , ahoy , you hear me ? ". And the genius smiled.
Sorry, now where was I?
So Sihanoukville, a disaster. We stayed 2 nights before escaping to Kampot (obviously Berni, we will talk about pornography, don’t worry). Here, renting a motorbike is required. A ride in the villages on the sides of the Mekong river. We often stop to play with children and refuel (yes refueler Bernardo, very clever). At the evening, as a reward, we go to a small local restaurant, rice soup with fish. I think I have tasted a lot of disgusting things on this trip but that’s the limit. Based on whether conventional ingredients (ie just rice and fish), managing to make it so bad is almost performance. Finally we have our reward in the hotel room, in the evening (I beg your pardon Bernardo? No, still no pornography in the story). Indeed, they played Chelsea Arsenal, live on TV, and nothing about table tennis. We just lacked of muff in ( I Promised )
Well, Kampot is beautiful but we want something more lost. Then we went to Kep,.Nice little story about Kep, there you can figure out, on all maps of the place, how to go to the secret lake. Then it seems clear that we don’t have the same notion of the word "secret". And when we learned that you can go to Snake Island, near Rabbit Island where there are no rabbits or snake, anywhere, it gets a little bit confusing for us. So, we don’t go to islands but visiting the lake, the caves and the fields of salt, pepper, ... all around. Then the national park gives us amazing viewpoints.
Finally, the Cambodian coast has offered us great moments and beautiful landscapes.
Next step to the capital, Phnom Penh, to honor our appointment with history. The visit of the killing fields is a shock. A slap in the face, a cold shower. Poignant Background speeches, audio guide takes you through the story. A journey through time and space. One solution to recover, the American Day. Concept developed during this trip with Bernardo, the American Day consist in making all major purchases at the same time, and having fun because " It is not that more". So full breakfast set, computer repair, a new camera and finish at the restaurant. A 10/10 for 200 dollars. Thank you Uncle Sam!
A back to basics, to Kampong Thom, 3 dollars a night, 1,5 dollar for meal. The fall is breathtakingly fast but necessary.
You don’t know Kampong Thom? It’s ok, there is nothing to do but visit the "mini Angkor vat" as they call it. We are, as usual, followed by children. And under heat complete with a 39 degree counter, they offer scarves (Bernardo still waiting for a snowstorm to change his swimsuit, he is even more disturbed than me).
Then laziness is enough, we reach Siem Reap. Mark in order to go back to Burma and me to visit the real Angkor vat.
You do not know Angkor vat? ("Go out!" Said Bernardo)
Angkor vat, it's like Taj Mahal for India, the Eiffel Tower for Paris, the KrutBier for Strasbourg, there is no way to miss.
So, after a hard goodbye, I go on site. Temples are as beautiful as each other. To give you an idea, watch the movie Tomb Raider and you removed Angelina Jolie (No, Bernardo, not on this way... Thailand has done much on this boy). Sometimes gigantic trees mingle with ruins and I wonder which came first.
But the weather is hot and this day is exhausting. So I take 3 days of well deserved rest chilling between the terrace and my room.
Concerning the terrace, no problem, but when you come back to you room 24 (located precisely between 116 and 16 in front of the 103) at 3am, just stone (no, not stud Bernardo), it is complicated. May the guy of the room 16 forgive me.
Then, last destination, Strung Treng. 15H bus for "the most beautiful view of the sunset over the Mekong River in Cambodia.”. Accurate isn’t it?
Before concluding this Cambodian interlude, I'd just give the Oscar to the Cambodian people for the category:
"I pile up as much stuffs as possible on my scooter and I tear myself away"
7 on a scooter or 6 double mattress, king size. Choose your side kid.
See you soon for new stories
Here are the photos of Cambodia !
The objective of the mission is simple, escape, flee the Thai ghost to finally meet our brothers in arms, locals, true people. After a night in a bus, surrounded by Russian and American, we reach the base camp of Sihanoukville. The invader is not there more discreet. Let’s leave. Gookbye.
"Bernardo, give me back this keyboard ! " … “I’ve no pakience anymore !”
Well, thank you Bernardo for this introduction, I did not find anything. Failure of the poet is not a myth ... it surprise you? Yes, I also know when your pen request divorce, when the white page turns out to be larger and whiter than usual, confuses the mind, inspiration clears off, in short I become human again. At this point, the poet must make a difference. I ask for help to genius: "Geni , ahoy , you hear me ? ". And the genius smiled.
Sorry, now where was I?
So Sihanoukville, a disaster. We stayed 2 nights before escaping to Kampot (obviously Berni, we will talk about pornography, don’t worry). Here, renting a motorbike is required. A ride in the villages on the sides of the Mekong river. We often stop to play with children and refuel (yes refueler Bernardo, very clever). At the evening, as a reward, we go to a small local restaurant, rice soup with fish. I think I have tasted a lot of disgusting things on this trip but that’s the limit. Based on whether conventional ingredients (ie just rice and fish), managing to make it so bad is almost performance. Finally we have our reward in the hotel room, in the evening (I beg your pardon Bernardo? No, still no pornography in the story). Indeed, they played Chelsea Arsenal, live on TV, and nothing about table tennis. We just lacked of muff in ( I Promised )
Well, Kampot is beautiful but we want something more lost. Then we went to Kep,.Nice little story about Kep, there you can figure out, on all maps of the place, how to go to the secret lake. Then it seems clear that we don’t have the same notion of the word "secret". And when we learned that you can go to Snake Island, near Rabbit Island where there are no rabbits or snake, anywhere, it gets a little bit confusing for us. So, we don’t go to islands but visiting the lake, the caves and the fields of salt, pepper, ... all around. Then the national park gives us amazing viewpoints.
Finally, the Cambodian coast has offered us great moments and beautiful landscapes.
Next step to the capital, Phnom Penh, to honor our appointment with history. The visit of the killing fields is a shock. A slap in the face, a cold shower. Poignant Background speeches, audio guide takes you through the story. A journey through time and space. One solution to recover, the American Day. Concept developed during this trip with Bernardo, the American Day consist in making all major purchases at the same time, and having fun because " It is not that more". So full breakfast set, computer repair, a new camera and finish at the restaurant. A 10/10 for 200 dollars. Thank you Uncle Sam!
A back to basics, to Kampong Thom, 3 dollars a night, 1,5 dollar for meal. The fall is breathtakingly fast but necessary.
You don’t know Kampong Thom? It’s ok, there is nothing to do but visit the "mini Angkor vat" as they call it. We are, as usual, followed by children. And under heat complete with a 39 degree counter, they offer scarves (Bernardo still waiting for a snowstorm to change his swimsuit, he is even more disturbed than me).
Then laziness is enough, we reach Siem Reap. Mark in order to go back to Burma and me to visit the real Angkor vat.
You do not know Angkor vat? ("Go out!" Said Bernardo)
Angkor vat, it's like Taj Mahal for India, the Eiffel Tower for Paris, the KrutBier for Strasbourg, there is no way to miss.
So, after a hard goodbye, I go on site. Temples are as beautiful as each other. To give you an idea, watch the movie Tomb Raider and you removed Angelina Jolie (No, Bernardo, not on this way... Thailand has done much on this boy). Sometimes gigantic trees mingle with ruins and I wonder which came first.
But the weather is hot and this day is exhausting. So I take 3 days of well deserved rest chilling between the terrace and my room.
Concerning the terrace, no problem, but when you come back to you room 24 (located precisely between 116 and 16 in front of the 103) at 3am, just stone (no, not stud Bernardo), it is complicated. May the guy of the room 16 forgive me.
Then, last destination, Strung Treng. 15H bus for "the most beautiful view of the sunset over the Mekong River in Cambodia.”. Accurate isn’t it?
Before concluding this Cambodian interlude, I'd just give the Oscar to the Cambodian people for the category:
"I pile up as much stuffs as possible on my scooter and I tear myself away"
7 on a scooter or 6 double mattress, king size. Choose your side kid.
See you soon for new stories
Here are the photos of Cambodia !