A peine rentré d’un tour de France des adieux, je me remets à écrire.
Peut-être poussé par votre soutien et vos éloges, ou bien par l’envie irrépressible d’écrire des conneries, le fait est que je me remets à taper violemment sur les touches de mon clavier. Remarque : Les touches ‘P’ ‘O’ ‘R’ et ‘N’ sont largement éprouvée… mystère et boule dégomme.
Ai-je vraiment quelque chose à dire ? Non, mais il ne manquerait plus que ça tient !
Bon, pour commencer, sur ma route, je suis passé par l’ambassade du Pakistan, n’en déplaise à maman. Un épisode caustique que je vais de ce pas vous relater.
Je me trouve donc devant le 18 de la rue Lord Byron en plein Paris, le Lundi 05 Août à 11H et des brouettes (non, pas espagnoles les brouettes Bernardo). Je reviens tout juste de l’ambassade d’Iran où les normes de sécurité sont somme toute excellentes. Un portique de sécurité, des portes blindés et le tout dans un immeuble en vieilles pierres. Prise d’empreintes, renseignements et conseils à la clé. Je suis sous le charme. Le Pakistan n’a qu’à bien se tenir, je suis motivé (Pour la petite histoire, le Pakistan se tient très bien, en voici la preuve)
Quel ne fut pas mon étonnement en apercevant alors la porte de l’ambassade Pakistanaise. Une porte quelconque, dont la seule sécurité consiste à dégager une odeur nauséabonde, James nauséabonde (aurait pu être évité), menant vers le pays magnifique du glauque et du surnaturel. Qu’à cela ne tienne, j’entre.
Des escaliers cabossés ornés d’un cendrier d’environs 50 litres jamais vidé depuis l’éclatement de l’ex URSS. Il dégueule, le cendrier, et je dégobille presque (non, rien à voir avec le désert dégobille Bernardo, tu cesses !). Puis le clou du spectacle, en terminant ma descente aux enfers, je me trouve nez à nez avec une vieille porte dégondée innocemment estampillée « WC » (Me vient alors à l’esprit cette citation latrine : Veni Pipi Parti). J’imagine même pas le mec qui a envie de chier en speed : « Je prends la porte dans les mains, je la décale vers l’ouverture des toilettes et je prie pour que personne ne vienne voir ce qui s’y passe ». Pendant ce temps là, j’ai le temps de me faire dessus une bonne dizaine de fois.
Pour parfaire le spectacle, quatre fauteuils délabrés sur lesquels il est possible à mon avis d’attraper des MST rien qu’en s’asseyant, et environs 30 personnes qui se tournent vers moi dans un silence de mort. Une scène de film !
La suite n’est que peu surprenante :
« J’entame un tour du monde et j’aimerais passer par chez vous, paraît que vous avez un chouette pays »
« Toi y’en a vouloir quoi ? »
« euh … je souhaiterais avoir un visa pour traverser ce beau pays qu’est le votre »
« Non ! Va voir le ministère des affaires étrangères » (sous-titré : imbécile)
Autant dire qu’à se moment là, l’heure n’est pas vraiment à la négociation et je ne note même pas le tutoiement intempestif qui, en tant qu'ancien surveillant, aurait pu mener à une gueulante. N'écoutant que mon courage, je mets donc fin à cette discussion :
« Ok ! »
Le ministère en question me conseille vivement de ne pas traverser le pays. En gros, si il m’arrive quoique ça soit, et il y a de grandes chances selon eux, ils viennent me chercher, oui mais … à mes frais.
Je serais donc le premier connard à financer une guerre mondiale, juste derrière le peuple Allemand.
Ébranlé (Ta gueule Bernardo !) par toutes ces péripéties, je reviens rapidement sur Strasbourg pour honorer mes rendez-vous avec le directeur de Décathlon Vendenheim et avec Mr France, Rédacteur en chef de Rue89Strasbourg. Tout s’est super bien passé et je vous donnerais rapidement des nouvelles concernant mon blog chez eux et mon partenariat avec Décathlon.
A bientôt pour de nouvelles aventures !
Peut-être poussé par votre soutien et vos éloges, ou bien par l’envie irrépressible d’écrire des conneries, le fait est que je me remets à taper violemment sur les touches de mon clavier. Remarque : Les touches ‘P’ ‘O’ ‘R’ et ‘N’ sont largement éprouvée… mystère et boule dégomme.
Ai-je vraiment quelque chose à dire ? Non, mais il ne manquerait plus que ça tient !
Bon, pour commencer, sur ma route, je suis passé par l’ambassade du Pakistan, n’en déplaise à maman. Un épisode caustique que je vais de ce pas vous relater.
Je me trouve donc devant le 18 de la rue Lord Byron en plein Paris, le Lundi 05 Août à 11H et des brouettes (non, pas espagnoles les brouettes Bernardo). Je reviens tout juste de l’ambassade d’Iran où les normes de sécurité sont somme toute excellentes. Un portique de sécurité, des portes blindés et le tout dans un immeuble en vieilles pierres. Prise d’empreintes, renseignements et conseils à la clé. Je suis sous le charme. Le Pakistan n’a qu’à bien se tenir, je suis motivé (Pour la petite histoire, le Pakistan se tient très bien, en voici la preuve)
Quel ne fut pas mon étonnement en apercevant alors la porte de l’ambassade Pakistanaise. Une porte quelconque, dont la seule sécurité consiste à dégager une odeur nauséabonde, James nauséabonde (aurait pu être évité), menant vers le pays magnifique du glauque et du surnaturel. Qu’à cela ne tienne, j’entre.
Des escaliers cabossés ornés d’un cendrier d’environs 50 litres jamais vidé depuis l’éclatement de l’ex URSS. Il dégueule, le cendrier, et je dégobille presque (non, rien à voir avec le désert dégobille Bernardo, tu cesses !). Puis le clou du spectacle, en terminant ma descente aux enfers, je me trouve nez à nez avec une vieille porte dégondée innocemment estampillée « WC » (Me vient alors à l’esprit cette citation latrine : Veni Pipi Parti). J’imagine même pas le mec qui a envie de chier en speed : « Je prends la porte dans les mains, je la décale vers l’ouverture des toilettes et je prie pour que personne ne vienne voir ce qui s’y passe ». Pendant ce temps là, j’ai le temps de me faire dessus une bonne dizaine de fois.
Pour parfaire le spectacle, quatre fauteuils délabrés sur lesquels il est possible à mon avis d’attraper des MST rien qu’en s’asseyant, et environs 30 personnes qui se tournent vers moi dans un silence de mort. Une scène de film !
La suite n’est que peu surprenante :
« J’entame un tour du monde et j’aimerais passer par chez vous, paraît que vous avez un chouette pays »
« Toi y’en a vouloir quoi ? »
« euh … je souhaiterais avoir un visa pour traverser ce beau pays qu’est le votre »
« Non ! Va voir le ministère des affaires étrangères » (sous-titré : imbécile)
Autant dire qu’à se moment là, l’heure n’est pas vraiment à la négociation et je ne note même pas le tutoiement intempestif qui, en tant qu'ancien surveillant, aurait pu mener à une gueulante. N'écoutant que mon courage, je mets donc fin à cette discussion :
« Ok ! »
Le ministère en question me conseille vivement de ne pas traverser le pays. En gros, si il m’arrive quoique ça soit, et il y a de grandes chances selon eux, ils viennent me chercher, oui mais … à mes frais.
Je serais donc le premier connard à financer une guerre mondiale, juste derrière le peuple Allemand.
Ébranlé (Ta gueule Bernardo !) par toutes ces péripéties, je reviens rapidement sur Strasbourg pour honorer mes rendez-vous avec le directeur de Décathlon Vendenheim et avec Mr France, Rédacteur en chef de Rue89Strasbourg. Tout s’est super bien passé et je vous donnerais rapidement des nouvelles concernant mon blog chez eux et mon partenariat avec Décathlon.
A bientôt pour de nouvelles aventures !