Laisser moi vous conter une histoire ; je conte et tu te mets à l’aise. C’est une histoire népalaise (Bernardo me permet souvent de commencer mes chroniques sans trop me casser la tête. Merci à lui).
J’arrive donc un 24 Novembre à Katmandou ou au Népal, mes souvenirs se confondent. J’échange alors mon argent contre des roupies. J’avoue qu’après une nuit blanche à Dubaï, c’est justement ce qui me manquait, des roupies. A l’aéroport, je rencontre Souresh (prononcez sourisse) qui devait certainement être en train d’attendre Odile de rat, ahah. Bref, il m’aide à m’installer avec mon ami Belge (le même qu’en Arménie, impossible de les semer ces bouffeurs de frites). Puis c’est la découverte de la capitale et de ses gens.
Tout d’abord, il faut savoir qu’ici, l’enfant nait pâle, puis il bronze en grandissant. Enfin, grandir est un bien grand mot lorsque l’on sait que leur taille adulte n’excède pas le mètre cinquante. Il est même parfois très compliqué de distinguer un enfant népalais d’un singe adulte si ce n’est par le langage, parfois. L’est pas nait celui qui dira le contraire (Bravo Bernardo !). Je reste 7 jours ici. On y est bien, il fait beau, le soleil brille, les couleurs sont magnifiques et abondantes, bref, début décembre autre part qu’en Alsace. Puis faut bien avouer que la chambre à 3euros et le Dahl Bat à volonté pour 1euro50, c’est imbattable. Dahl Bat, qui peut te battre !
Puis je vais me ressourcer dans les montagnes. Un trek de 10 jours et 6 paquets de clopes pour s’oxygéner les poumons (Light maman parce que je fais gaffe a mon asthme quand même). Là-bas, j’apprends à cracher comme un népalais. En trois temps : tu te racles le nez, puis le palais et tu envoies en orbite un molard nez-palais. C’est assez facile, il suffit de ne pas avoir honte et d’avoir le rhume. J’y apprends aussi les différentes castes qui régissent (est un con, merci pour cette intervention Bernardo) ce pays. On se rend aussi vite compte que la caste majoritaire ici, c’est la caste couille, regroupant tous les vendeurs de n’importe quoi et les conducteurs (de n’importe quoi aussi d’ailleurs, tu as raison Bernardo).
Puis retour à Katmandou, qui est bien au Népal (Oui j’ai vérifié Renaud, Séchiant tu me fais jamais confiance), on se repose un peu et on va à Pokhara, au nord.
Comment expliquer le bus Népalais. Déjà c’est pas évident à chaque fois que ça soit un être humain qui entre. Tu peux avoir des chèvres, des poules, … La première heure apprécie le côté traditionnel de la chose. Puis la deuxième tu évites les merdes des animaux et les vomis humains Et quand tu vois le 50ième passager sur 30 places, tu repenses à la conduite folle du chauffeur qui ne risque que 9 jours de prisons s’il plante le bus dans les montagnes et qu’il arrive à sauter à temps. C’est un peu ça le bus népalais.
A part ça, ici on se fait plaisir ; Ballades, Parapente, Restaurants, …. Bref, je peux le dire sans honte, j’M. Pokhara. Mais il faut partir, comme toujours. Et oui, c’est bientôt Noël et qui n’a jamais rêvé d’Inde pour Noël ?
A bientôt pour de nouvelles aventures
Voici les dernières photos du Népal
J’arrive donc un 24 Novembre à Katmandou ou au Népal, mes souvenirs se confondent. J’échange alors mon argent contre des roupies. J’avoue qu’après une nuit blanche à Dubaï, c’est justement ce qui me manquait, des roupies. A l’aéroport, je rencontre Souresh (prononcez sourisse) qui devait certainement être en train d’attendre Odile de rat, ahah. Bref, il m’aide à m’installer avec mon ami Belge (le même qu’en Arménie, impossible de les semer ces bouffeurs de frites). Puis c’est la découverte de la capitale et de ses gens.
Tout d’abord, il faut savoir qu’ici, l’enfant nait pâle, puis il bronze en grandissant. Enfin, grandir est un bien grand mot lorsque l’on sait que leur taille adulte n’excède pas le mètre cinquante. Il est même parfois très compliqué de distinguer un enfant népalais d’un singe adulte si ce n’est par le langage, parfois. L’est pas nait celui qui dira le contraire (Bravo Bernardo !). Je reste 7 jours ici. On y est bien, il fait beau, le soleil brille, les couleurs sont magnifiques et abondantes, bref, début décembre autre part qu’en Alsace. Puis faut bien avouer que la chambre à 3euros et le Dahl Bat à volonté pour 1euro50, c’est imbattable. Dahl Bat, qui peut te battre !
Puis je vais me ressourcer dans les montagnes. Un trek de 10 jours et 6 paquets de clopes pour s’oxygéner les poumons (Light maman parce que je fais gaffe a mon asthme quand même). Là-bas, j’apprends à cracher comme un népalais. En trois temps : tu te racles le nez, puis le palais et tu envoies en orbite un molard nez-palais. C’est assez facile, il suffit de ne pas avoir honte et d’avoir le rhume. J’y apprends aussi les différentes castes qui régissent (est un con, merci pour cette intervention Bernardo) ce pays. On se rend aussi vite compte que la caste majoritaire ici, c’est la caste couille, regroupant tous les vendeurs de n’importe quoi et les conducteurs (de n’importe quoi aussi d’ailleurs, tu as raison Bernardo).
Puis retour à Katmandou, qui est bien au Népal (Oui j’ai vérifié Renaud, Séchiant tu me fais jamais confiance), on se repose un peu et on va à Pokhara, au nord.
Comment expliquer le bus Népalais. Déjà c’est pas évident à chaque fois que ça soit un être humain qui entre. Tu peux avoir des chèvres, des poules, … La première heure apprécie le côté traditionnel de la chose. Puis la deuxième tu évites les merdes des animaux et les vomis humains Et quand tu vois le 50ième passager sur 30 places, tu repenses à la conduite folle du chauffeur qui ne risque que 9 jours de prisons s’il plante le bus dans les montagnes et qu’il arrive à sauter à temps. C’est un peu ça le bus népalais.
A part ça, ici on se fait plaisir ; Ballades, Parapente, Restaurants, …. Bref, je peux le dire sans honte, j’M. Pokhara. Mais il faut partir, comme toujours. Et oui, c’est bientôt Noël et qui n’a jamais rêvé d’Inde pour Noël ?
A bientôt pour de nouvelles aventures
Voici les dernières photos du Népal
Nepali style
I’m going to tell you a story. So be confortable, take your baby’s bottle and your nipple, it’s a story of Nepal (Bernardo always helps me to find my first joke, he gives me the power. thank to him)
Well, I arrive in Kathmandu or in Népal, I’m a bit confused, the 24th of Novembre. Then I ask a guy to exchange my money. 1.50 meter tall. You can almost say that I ask a monkey for money. But it’s not polite, I agree, and it’s only the beginning.
At the aiport, I meet Souresh who apologize because the streets are dirty. Don’t be souresh ! (thank you Bernardo). Well he helps me to settle down with my belgium friend (the same than in Armenia, impossible to loose him). Then I discover this town and its people.
Firstly, as I said before, people here are very short. Sometimes it’s very hard to tell the difference between a Nepali child and a monkey adult except maybe thanks to the language, maybe. I stay here 7 days to take a rest. I feel good, the sun is shinning, colours are beautiful, exactly not like my own country in Decembre. And another very important thing is that everything is very cheap. The hostel for 3€ and the traditional food, Dahl Bat, for 1,5€. It’s Dahl Batman!
Then I go to revitalise myself in the mountains. A 10-day trek with 6 packs of cigarettes for the lungs (Light cigarettes mum, I take care of my asthma, promise). There I learn about the different caste of this country. The lower cast wearing old cast-offs, the higher (cast a glance) and the stupid people caste which is the most spread. This one cast a wide net; sellers, drivers…. Mostly in Kast-mandu. (Wahou, thank you Bernardo, you cast a spell on me)
Finally, I leave Kathmandu to reach Pokhara by bus, 7 hours. I feel like in washing machine. It’s not Pokhara but Pork harass. How to explain the Nepali bus. You can be happy when it's a human who's coming inside the bus. Sometimes sheep, sometimes chicken. Ok, the first hour is fun and you can say that it's "traditionnal". After the second, you can thanks to god if no one shit on you. And after few hours, you can have the chance to see the 50th guy entering the bus (which is for 30) in tetris style and you're lucky if he doesn't vomit by the window. Add to this the crazy bus driver who risk only 9 fucking days in jail if he crashes the bus, everybody dies and he had managed to jump out of it, then you have Nepali bus.
Well, in Pokara I hike, go restaurant, paraglide… take rest. But I have to go in India. It’s almost Christmas and who never dreams about being in DIA (French cheap supermarket) for Christmas. Isn’t it?
See you soon for new stories
Here are the latest photos of Nepal
Well, I arrive in Kathmandu or in Népal, I’m a bit confused, the 24th of Novembre. Then I ask a guy to exchange my money. 1.50 meter tall. You can almost say that I ask a monkey for money. But it’s not polite, I agree, and it’s only the beginning.
At the aiport, I meet Souresh who apologize because the streets are dirty. Don’t be souresh ! (thank you Bernardo). Well he helps me to settle down with my belgium friend (the same than in Armenia, impossible to loose him). Then I discover this town and its people.
Firstly, as I said before, people here are very short. Sometimes it’s very hard to tell the difference between a Nepali child and a monkey adult except maybe thanks to the language, maybe. I stay here 7 days to take a rest. I feel good, the sun is shinning, colours are beautiful, exactly not like my own country in Decembre. And another very important thing is that everything is very cheap. The hostel for 3€ and the traditional food, Dahl Bat, for 1,5€. It’s Dahl Batman!
Then I go to revitalise myself in the mountains. A 10-day trek with 6 packs of cigarettes for the lungs (Light cigarettes mum, I take care of my asthma, promise). There I learn about the different caste of this country. The lower cast wearing old cast-offs, the higher (cast a glance) and the stupid people caste which is the most spread. This one cast a wide net; sellers, drivers…. Mostly in Kast-mandu. (Wahou, thank you Bernardo, you cast a spell on me)
Finally, I leave Kathmandu to reach Pokhara by bus, 7 hours. I feel like in washing machine. It’s not Pokhara but Pork harass. How to explain the Nepali bus. You can be happy when it's a human who's coming inside the bus. Sometimes sheep, sometimes chicken. Ok, the first hour is fun and you can say that it's "traditionnal". After the second, you can thanks to god if no one shit on you. And after few hours, you can have the chance to see the 50th guy entering the bus (which is for 30) in tetris style and you're lucky if he doesn't vomit by the window. Add to this the crazy bus driver who risk only 9 fucking days in jail if he crashes the bus, everybody dies and he had managed to jump out of it, then you have Nepali bus.
Well, in Pokara I hike, go restaurant, paraglide… take rest. But I have to go in India. It’s almost Christmas and who never dreams about being in DIA (French cheap supermarket) for Christmas. Isn’t it?
See you soon for new stories
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