Me voici à la fin de mon séjour en Iran, vivant et même en bonne santé. Je ne me suis pas fait exploser par une bombe humaine, on ne m’a pas coupé le prépuce et malgré mes longs cheveux, je n’ai pas été obligé de me marier avec un barbu sale et vieux. On m’aurait menti ?Avant d’entrer dans le pays, on fait un dernier petit check sur le lonely planet. « Il faut absolument prendre beaucoup d’euros sur soit parce qu’il est impossible de retirer dans le pays ». Rappel pour la suite, ne jamais écouter le lonely planet. Premièrement, la seule chose qu’il ne faut pas oublier ici, c’est du PQ. En effet, ils s’essuient avec de l’eau et la main ce qui rend le premier contact masculin un peu plus délicat (Bernardo a arrêté de se ronger les ongles).
De plus, les gens sont tellement adorables qu’il est impossible de payer quoi que ça soit. Thé, repas, hôtel, bus, cigarettes, … au début tu ne sais pas trop si c’est du lard ou du cochon (Bernardo est sur le qui-vive) et du coup tu insistes pour payer au moins ta part. Rien à faire, ils sont têtus comme des mules. Mais iranien qui rira le dernier, j’ai décidé d’acheter mes clopes en cachette et de demander de la viande Kasher à chaque repas… Du coup je les sens moins sereins les gaillards.
Mais réellement, c’est incroyable de voir comme la population est accueillante. Apparemment, d’autant plus depuis Juin, depuis que le nouveau président à pris la place du détesté Armadi Nejad. C’est comme si les gens soufflaient depuis les dernières élections (ou bien aussi « souffraient depuis les dernières érections » mais ça c’est quand on les connait un peu mieux). Ils veulent montrer au monde qu’ils ne sont pas comme on les imagine et ils ne sont pas tous les pantins de Rohani au milieu d’un bal mosquée (Le chef religieux de coin, un illustre inconnu dans nos contrés athées et développées mais ici …) J’ai presque envie de dire que quand le tchador, les souris dansent (Bernardo me signale qu’il y a double vanne, seras-tu les retrouvées ?).
Sinon, un petit point noir dans ce paysage merveilleux, internet ! Lorsque par miracle tu réussis à avoir une connexion digne de ce nom, il faut encore passer les filtres du gouvernement. Pas de Facebook, pas de Youtube, et j’en passe. Bon, il faut savoir que tous les iraniens ont la combine, les ministres en première ligne (Nan nan Bernardo, cherche pas, il n’y à rien là). Il faut utiliser un proxy. Et c’est là que ça devient marrant ; quand tu vas dans un cyber café, les dernières pages internet c’est, pour la plupart, des sites porno… sacré iraniens ! Ils n’utilisent pas un « proxé » mais un « proxy net » pour mater des femmes. Ils ne font jamais comme les autres ceux-là. Toujours à faire les intéresssants. C’est agaçant à la fin.
A bientôt pour de nouvelles aventures
Voici les photos d'Iran
De plus, les gens sont tellement adorables qu’il est impossible de payer quoi que ça soit. Thé, repas, hôtel, bus, cigarettes, … au début tu ne sais pas trop si c’est du lard ou du cochon (Bernardo est sur le qui-vive) et du coup tu insistes pour payer au moins ta part. Rien à faire, ils sont têtus comme des mules. Mais iranien qui rira le dernier, j’ai décidé d’acheter mes clopes en cachette et de demander de la viande Kasher à chaque repas… Du coup je les sens moins sereins les gaillards.
Mais réellement, c’est incroyable de voir comme la population est accueillante. Apparemment, d’autant plus depuis Juin, depuis que le nouveau président à pris la place du détesté Armadi Nejad. C’est comme si les gens soufflaient depuis les dernières élections (ou bien aussi « souffraient depuis les dernières érections » mais ça c’est quand on les connait un peu mieux). Ils veulent montrer au monde qu’ils ne sont pas comme on les imagine et ils ne sont pas tous les pantins de Rohani au milieu d’un bal mosquée (Le chef religieux de coin, un illustre inconnu dans nos contrés athées et développées mais ici …) J’ai presque envie de dire que quand le tchador, les souris dansent (Bernardo me signale qu’il y a double vanne, seras-tu les retrouvées ?).
Sinon, un petit point noir dans ce paysage merveilleux, internet ! Lorsque par miracle tu réussis à avoir une connexion digne de ce nom, il faut encore passer les filtres du gouvernement. Pas de Facebook, pas de Youtube, et j’en passe. Bon, il faut savoir que tous les iraniens ont la combine, les ministres en première ligne (Nan nan Bernardo, cherche pas, il n’y à rien là). Il faut utiliser un proxy. Et c’est là que ça devient marrant ; quand tu vas dans un cyber café, les dernières pages internet c’est, pour la plupart, des sites porno… sacré iraniens ! Ils n’utilisent pas un « proxé » mais un « proxy net » pour mater des femmes. Ils ne font jamais comme les autres ceux-là. Toujours à faire les intéresssants. C’est agaçant à la fin.
A bientôt pour de nouvelles aventures
Voici les photos d'Iran
Run Run in Iran
Here i am in Iran, alive and even healthy. I haven’t been exploded by human bomb yet, nobody cut my foreskin yet and although my hair is long, I’ve haven’t be forced to get married. No kidding ?
Last check on lonely planet before entering the country: “You absolutely need to have a lot of euros/dollars in your bag because you can’t do cash withdrawals in this fucking country (Australian style)”. Remember, never trust Lonely planet. Firstly, the first thing you’d never forget here is toilet paper. Indeed, here they wash their ass with hands and water which make the first male contact complicated (Bernardo stopped to bite his nails).
Moreover, people are so nice that it’s impossible to pay anything. Tea, food, hotel, cigarettes … So you insist to share the price but they are as stubborn as a mule. He who laughs last laughs longest, I decided to buy my cigarettes secretly and to always order only kosher meat. And now I feel them less serene.
But really, it’s amazing to see how friendly peoples are. Since the new president election in June, it’s more and more obvious. I felt sometimes shame in their speeches. Shame about their politicians, about their rules … Some of them almost told me that they regrets the shah period. It’s as to said that they want to knock the shah door (and not the chador Bernardo)
Otherwise, the very worst problem in this country is Internet. When, by miracle, you manage to have decent connection, then you’ve to pass through the government filters. No Facebook, No Youtube … But every Iranian knows how to do, ministers in first line (No, there is nothing to do with that Bernardo). You’ve to use a Proxy. And this is fun, most of the time, when you go in a coffee net, the latest internet page is a pornographic page. Damn Iranians! Proxy is the name of their procurer.
See you soon for new stories
Here are the photos of Iran
Last check on lonely planet before entering the country: “You absolutely need to have a lot of euros/dollars in your bag because you can’t do cash withdrawals in this fucking country (Australian style)”. Remember, never trust Lonely planet. Firstly, the first thing you’d never forget here is toilet paper. Indeed, here they wash their ass with hands and water which make the first male contact complicated (Bernardo stopped to bite his nails).
Moreover, people are so nice that it’s impossible to pay anything. Tea, food, hotel, cigarettes … So you insist to share the price but they are as stubborn as a mule. He who laughs last laughs longest, I decided to buy my cigarettes secretly and to always order only kosher meat. And now I feel them less serene.
But really, it’s amazing to see how friendly peoples are. Since the new president election in June, it’s more and more obvious. I felt sometimes shame in their speeches. Shame about their politicians, about their rules … Some of them almost told me that they regrets the shah period. It’s as to said that they want to knock the shah door (and not the chador Bernardo)
Otherwise, the very worst problem in this country is Internet. When, by miracle, you manage to have decent connection, then you’ve to pass through the government filters. No Facebook, No Youtube … But every Iranian knows how to do, ministers in first line (No, there is nothing to do with that Bernardo). You’ve to use a Proxy. And this is fun, most of the time, when you go in a coffee net, the latest internet page is a pornographic page. Damn Iranians! Proxy is the name of their procurer.
See you soon for new stories
Here are the photos of Iran