Certes, je ne crois pas que l’Arménie ai besoin de cet article ni même et encore moins des jeux de mots idiots de Bernardo. Mais c’est comme ça que voulez vous, il y a des choses qu’on ne peut s’empêcher de faire. Et là je vous sens impatients.
L’Arménie c’est 29743 km² de superficie, plus de 3 millions d’habitants dont 1 million à Yerevan ce qui fait un tiers pour les moins malins. De plus, le DRAM, monnaie nationale, équivaut à 0,002 euros environs ce qui rend le pays assez attractif. Et là vous vous dites, merde, on risque quand même de se faire un peu chier finalement.
Soit, j’entre donc en Arménie et là, je remarque 2 choses : Le stop ici est extrêmement simple, surtout quand on est français, et l’état des routes est absolument déplorables. Le bitume n’est qu’un lointain souvenir est les jantes n’ont qu’à bien se tenir.
En une après midi, j’atteins Yerevan, la capitale pour les incultes. Faut dire, l’Arménie c’est un peu comme la Russie mais en 550 fois plus petit. Ca aide !
Puis c’est une ambiance magnifique à laquelle je participe pendant 3 jours. Les gens ont l’air content (ils vivent dans un pays sous développé et ils sourient, il doit bien y avoir quelques chose de chouette ici). Il faut dire que depuis la ville, la vue sur le mont Ararat est absolument magnifique. La légende veut que l’arche de Noé ait échouée au sommet de cette montagne. Et la Bernardo me dit qu’à Paris, en Juin, il n’est pas rare d’apercevoir le derche de Noah au sommet du court Suzanne Lenglen. D’un coup d’un seul, la légende en prend un sacré coup derrière la nuque (j’ai bien dis ‘nuQUE’)
Je quitte ainsi Yerevan pour le lac Sevan. Pour tout dire, je quitte le soleil pour le froid et la neige. Il y a des fois, comme ça, sans prévenir, l’Alsace vous fait un petit coucou sans crier gare. Bernardo me souffle à l’oreille qu’on ne peut pas se baigner dans le lac Sevan parce qu’on à pas pied … d’Arménie (hahaha). Il y a des fois, comme ça, sans prévenir, l’humour frappe à votre porte sans fermer sa gueule. Sacré Bernardo !
La suite du voyage arménien est un peu plus chaotique. Soit le Sud de l’Arménie est moins propice au stop, soit la présence de mes 2 compagnons de route belges est un désavantage, mais le fait est qu’on avance qu’à petit pas. J’aimerais vraiment pouvoir dire que nos amis belges n’y sont pour rien dans cette triste histoire mais je dois bien admettre que même moi, je ne sais pas si je m’arrêterais en les apercevant sur le bord de la route (cf photo). Certainement une histoire de feeling ou de physique. A méditer.
Puis après une semaine de ‘‘Emmenez-moi’’, ‘‘La bohème’’ et autre ‘‘Je m’voyais déjà’’, je dois bien avouer qu’il est temps que je m’arrache (pas les oreilles Bernardo, imbécile… C’est bien la seule chose qu’il te reste toi !). Je dois quitter ce pays formi formi formi..
En fait, il est temps pour moi de mettre les voiles en Iran.
A bientôt pour de nouvelles aventures
Voici les dernières photos d'Arménie
L’Arménie c’est 29743 km² de superficie, plus de 3 millions d’habitants dont 1 million à Yerevan ce qui fait un tiers pour les moins malins. De plus, le DRAM, monnaie nationale, équivaut à 0,002 euros environs ce qui rend le pays assez attractif. Et là vous vous dites, merde, on risque quand même de se faire un peu chier finalement.
Soit, j’entre donc en Arménie et là, je remarque 2 choses : Le stop ici est extrêmement simple, surtout quand on est français, et l’état des routes est absolument déplorables. Le bitume n’est qu’un lointain souvenir est les jantes n’ont qu’à bien se tenir.
En une après midi, j’atteins Yerevan, la capitale pour les incultes. Faut dire, l’Arménie c’est un peu comme la Russie mais en 550 fois plus petit. Ca aide !
Puis c’est une ambiance magnifique à laquelle je participe pendant 3 jours. Les gens ont l’air content (ils vivent dans un pays sous développé et ils sourient, il doit bien y avoir quelques chose de chouette ici). Il faut dire que depuis la ville, la vue sur le mont Ararat est absolument magnifique. La légende veut que l’arche de Noé ait échouée au sommet de cette montagne. Et la Bernardo me dit qu’à Paris, en Juin, il n’est pas rare d’apercevoir le derche de Noah au sommet du court Suzanne Lenglen. D’un coup d’un seul, la légende en prend un sacré coup derrière la nuque (j’ai bien dis ‘nuQUE’)
Je quitte ainsi Yerevan pour le lac Sevan. Pour tout dire, je quitte le soleil pour le froid et la neige. Il y a des fois, comme ça, sans prévenir, l’Alsace vous fait un petit coucou sans crier gare. Bernardo me souffle à l’oreille qu’on ne peut pas se baigner dans le lac Sevan parce qu’on à pas pied … d’Arménie (hahaha). Il y a des fois, comme ça, sans prévenir, l’humour frappe à votre porte sans fermer sa gueule. Sacré Bernardo !
La suite du voyage arménien est un peu plus chaotique. Soit le Sud de l’Arménie est moins propice au stop, soit la présence de mes 2 compagnons de route belges est un désavantage, mais le fait est qu’on avance qu’à petit pas. J’aimerais vraiment pouvoir dire que nos amis belges n’y sont pour rien dans cette triste histoire mais je dois bien admettre que même moi, je ne sais pas si je m’arrêterais en les apercevant sur le bord de la route (cf photo). Certainement une histoire de feeling ou de physique. A méditer.
Puis après une semaine de ‘‘Emmenez-moi’’, ‘‘La bohème’’ et autre ‘‘Je m’voyais déjà’’, je dois bien avouer qu’il est temps que je m’arrache (pas les oreilles Bernardo, imbécile… C’est bien la seule chose qu’il te reste toi !). Je dois quitter ce pays formi formi formi..
En fait, il est temps pour moi de mettre les voiles en Iran.
A bientôt pour de nouvelles aventures
Voici les dernières photos d'Arménie
One week in Armenia
Certainly, I don’t believe that Armenia neither needs this article even nor idiot puns of Bernardo (my imaginary travel mate). But what you want, sometimes I can’t help doing something. And now I can feel that you ‘are impatient.
Armenian area is about 29 743 square metres, more than 3 millions inhabitants of whom 1 million in Yerevan. So one third for the less clever readers. Furthermore, DRAM, national currency, amount to 0,002 Euros make this country very attractive. And now you think, shit, finally I’ll even so get bored.
Well, I enter Armenia and then, I notice 2 things: Hitch-hiking will be extremely easy here, especially when you are French, and the road are absolutely awful. Asphalt is now a dim memory and rim should behave themselves.
In one afternoon, I reach Yerevan, the capital, for uncultivated. It must be said that Armenia is almost Russia but 550 times less big. It helps!
There the atmosphere is perfect and I stay 3 days. People seem to be happy (They live in an underdeveloped country and they smile, there must be something cool here). Yes there is! From the city, you can see the Ararat mount, absolutely wonderful. The legend says that Noah’s ark became stranded on the top. Bernardo tells me that in Paris, in June, it’s not unusual to see Noah’s ass from the top of Rolland Garros stadium. And suddenly, the legend takes a hit.
Then I leave Yerevan and its sun for Sevan Lake and snow. Sometimes, Alsace (my cold department) knocks on you door without calling before.
What happens next is more chaotic. Either the south of Armenia is not a good place for hitch-hiking or my 2 Belgium travel mate are a drawback but we go on very slow. I would wish I can say that Belgium guys aren’t the cause but I’ve to be honest and admit that I would even not stop my own car. Maybe bad feeling or bad physic. To think about
Eventually, after 1 week of ‘‘Emmenez-moi’’, ‘‘La bohème’’ and others ‘‘Je m’voyais déjà’’ (Famous French songs of Armenian famous singer), I have to admit that it’s time for me to tear myself away. I have to leave and set sail to Iran. Bernardo: and not set veil to Iran… Sometimes, Humour knocks on your door without shutting its gob. Damn Bernardo.
See you soon for new stories
Here are the last photos of Armenia
Armenian area is about 29 743 square metres, more than 3 millions inhabitants of whom 1 million in Yerevan. So one third for the less clever readers. Furthermore, DRAM, national currency, amount to 0,002 Euros make this country very attractive. And now you think, shit, finally I’ll even so get bored.
Well, I enter Armenia and then, I notice 2 things: Hitch-hiking will be extremely easy here, especially when you are French, and the road are absolutely awful. Asphalt is now a dim memory and rim should behave themselves.
In one afternoon, I reach Yerevan, the capital, for uncultivated. It must be said that Armenia is almost Russia but 550 times less big. It helps!
There the atmosphere is perfect and I stay 3 days. People seem to be happy (They live in an underdeveloped country and they smile, there must be something cool here). Yes there is! From the city, you can see the Ararat mount, absolutely wonderful. The legend says that Noah’s ark became stranded on the top. Bernardo tells me that in Paris, in June, it’s not unusual to see Noah’s ass from the top of Rolland Garros stadium. And suddenly, the legend takes a hit.
Then I leave Yerevan and its sun for Sevan Lake and snow. Sometimes, Alsace (my cold department) knocks on you door without calling before.
What happens next is more chaotic. Either the south of Armenia is not a good place for hitch-hiking or my 2 Belgium travel mate are a drawback but we go on very slow. I would wish I can say that Belgium guys aren’t the cause but I’ve to be honest and admit that I would even not stop my own car. Maybe bad feeling or bad physic. To think about
Eventually, after 1 week of ‘‘Emmenez-moi’’, ‘‘La bohème’’ and others ‘‘Je m’voyais déjà’’ (Famous French songs of Armenian famous singer), I have to admit that it’s time for me to tear myself away. I have to leave and set sail to Iran. Bernardo: and not set veil to Iran… Sometimes, Humour knocks on your door without shutting its gob. Damn Bernardo.
See you soon for new stories
Here are the last photos of Armenia